Ils sont 48 solitaires (33 en Imoca, 13 en Class40 et 2 en monocoque "Vintage") à s'élancer sur The Transat CIC. De Lorient à New York, retrouvez ici toutes les infos sur cette transat mythique.
🗺️ Le lien vers la cartographie de la course.
❔ Toutes les questions que vous vous posez sur The Transat CIC.
✖️ Les abandons. Imoca : Jean Le Cam (Tout Commence en Finistère - Armox Lux), Jérémie Beyou (Charal), Louis Duc (Fives Group - Lantana Environnement), Arnaud Boissières (La Mie Câline), Sébastien Marsset (Foussier), Antoine Cornic (Human Immobilier). Class40 : Quentin Le Nabour (Bleu Blanc Planète Location); Goulven Marie (Qwanza); Axel Tréhin (Project Rescue Ocean); Aurélien Ducroz (Crosscall).
1. Yoann Richomme (Paprec – Arkéa) en 8 jours 6 h 53’32’’
2. Boris Herrmann (Malizia) à 2 h 18’59’’ du vainqueur
3. Sam Davies (Initiatives Coeur) à 5 h 51’36 ‘’
4. Charlie Dalin (Macif Prévoyance Santé) à 7 h 50’56’’
5. Maxime Sorel (V&B Monbana Mayenne) à 8 h 40'31''
6. Yannick Bestaven (Maître Coq) à 11 h 44'44''
7. Justine Mettraux (Teamwork - Groupe Snef) à 12 h 47'48''
8. Damien Seguin (Groupe Apicil) à 20 h 36'
9. Louis Burton (Bureau Vallée) à 21 h 44' 06''
10. Sébastien Simon (Groupe Dubreuil) à 1 jour 13 h 9'3''
1. Ambrogio Beccaria (Alla Grande Pirelli) en 11 jours 16 h 17'55''
2. Ian Lipinski (Crédit Mutuel) à 2 h 20'11''
3. Fabien Delahaye (LEGALLAIS) à 5 h 10'05''
4. Nicolas D'Estais (Café Joyeux) à 7 h 38'
5. Alberto Bona (IBSA) à 12 h 17'
6. Vincent Riou (Pierreval - Fondation GoodPlanet) à 30 h 13'
Coup dur à bord du Class40 « Zeiss » pour le jeune Thimoté Polet, 23 ans, qui a démâté à 240 milles de l’arrivée de The Transat CIC. Blessé à la main, le marin havrais a été hélitreuillé les garde-côtes américains
Fabien Delahaye s’offre la troisième place de The Transat CIC chez les Class40. Le skipper a franchi la ligne d'arrivée ce vendredi à 10 h 58 56’’ après 11 jours, 21 heures et 28 minutes en mer. Il s’agit du résultat le plus prestigieux pour son bateau mis à l’eau l’an dernier.
Ian Lipinski (Crédit Mutuel) a passé la ligne en deuxième position en Class40, 2 h 20'11'' derrière Ambrogio Beccaria (Alla Grande Pirelli).
Deux bateaux ont franchi la ligne à New York dans la nuit de jeudi à vendredi : James Harayda (Gentoo Sailing Team, 19e) et Eric Bellion (Stand as One, 20e), Giancarlo Pedote (Prysmian, 21e) et François Guiffant (Partage, 22e).
La fin de parcours n'a pas été de tout repos pour les Class40. Sur les derniers milles vers la ligne d'arrivée, ils ont dû négocier deux zones de vents légers et instables, des grains. Compliqué pour les nerfs après onze jours de course et une fatigue forcément installée. C'est vendredi matin que les premiers sont attendus sur la ligne d'arrivée : qui d'Ambrogio Beccaria, qui gagne toutes les courses ou presque depuis quelques mois, ou de Ian Lipinski, qui fait une dernière transat sur son bateau avant de changer de monture et qui aimerait bien terminer en beauté, inscrira son nom au palmarès de The Transat CIC ? Jeudi soir, c'est l'Italien qui avait pris l'avantage avec 20 milles...
Plusieurs bateaux ont franchi la ligne à New York dans la nuit de mercredi à jeudi : Nicolas Lunven (Holcin-PRB, 14e), Paul Meilhat (Biotherm, 15e), Kojiro Shiraishi (DMG Mori Global One, 16e), Guirec Soudée (Freelance.com, 17e) et Violette Dorange (Devenir, 18e). D'autres devraient suivre dans le journée.
Un premier temps espérés sur la ligne d'arrivée au large de New York, jeudi, les Class40 ne seront finalement pas attendus avant vendredi dans la nuit. La bagarre est toujours aussi intense entre Ambrogio Beccaria et Ian Lipinski. Bien malin celui qui pourrait désigner le futur vainqueur de cette course...
Alors qu'elle a été contrainte de mettre sa course entre parenthèses à cause d'une casse au niveau d'une cloison, Clarisse Crémer est toujours à Horta (Açores). Son équipe travaille jour et nuit pour réparer le bateau pour qu'elle puisse reprendre la course au plus vite. Elle a jusqu'au 20 mai pour couper la ligne d'arrivée au large de New York.
\ud83c\uddeb\ud83c\uddf7 Des nouvelles d’Horta ! L’équipe technique continue de travailler sur le bateau de jour comme de nuit, les travaux avancent bien… les explications de Clarisse !
— L'Occitane Sailing Team (@LOccitaneSail) May 8, 2024
\ud83c\uddec\ud83c\udde7 News from Horta! Hear from Clarisse as the technical team continues to work on the boat day and night! pic.twitter.com/GCdKGKB1K5
Il a coupé la ligne, ce mercredi midi en onzième position seulement deux heures après le dixième foiler en 9 jours 22 h 35’34’’ ! Tanguy Le Turquais a réalisé une très belle transat entre Lorient et New York à la barre de son Imoca à dérives droites. Lazare a tenu des vitesses très élevées, le skipper a lui fait de jolis coups pour pouvoir finir dans le sillage des dix premiers foilers. Il en a même mis quelques-uns derrière lui. Le deuxième Imoca « non-foiler », Guirec Soudée est encore à quelque 240 milles de la ligne d’arrivée. Une véritable performance pour Tanguy Le Turquais à six mois du Vendée Globe.
La tête dans les nuages \u2601\ufe0f pic.twitter.com/VsNp98mPnw
— Tanguy le Turquais - Skipper LAZARE (@tanguyleturquai) May 7, 2024
Si les arrivées s'enchaînent pour les Imoca : le top 10 est connu depuis le passage de ligne de Sébastien Simon, les Class40 continuent leur progression vers la délivrance. Ce mercredi, la bagarre fait toujours rage entre Ambrogio Beccaria et Ian Lipinski : seulement 4 petits milles les séparent à quelque 360 milles de l'arrivée. Depuis lundi, ils ne cessent tous les deux d'échanger la première place au gré des risées... ça promet. Parce que devant les étraves : une bulle sans vent va leur compliquer la tâche avant de retrouver un flux plus stable de secteur sud-sud-ouest, qui devrait les amener jusqu'à la ligne. Une ligne d'arrivée qu'ils pourraient atteindre dans la journée de jeudi s'ils passent la zone sans vent assez facilement... sinon il faudra attendre la nuit de jeudi à vendredi. Le suspense est à son comble après 3 500 milles sur l'Atlantique Nord entre Lorient et la Grosse Pomme et presque 10 jours de course.
C'est un soulagement pour Amélie Grassi. La skipper de La Boulangère avait déchiré sa grand-voile mais à 900 miles de New York, elle a réussi à la réparer : "J’ai réussi à attaquer la réparation de la voile. Il a d’abord fallu la démonter. Ça m’a pris une heure et demie environ. J’ai fait un patch structurel le long de la chute puis deux patchs de chaque côté de la voile. Chaque patch est d’abord encollé puis je les ai cousus. J’ai fait ceinture et bretelle en espérant que tout fonctionne. C’était dur cette réparation". Mais la voilà maintenant repartie vers New York avec une vitesse bien plus raisonnable...
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