The Transat CIC : après la ligne d’arrivée, ce n’est pas tout à fait fini…

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Par Aline Merret

Une fois la course terminée, les solitaires n’ont pas pu se relâcher complètement. Il leur restait encore 110 milles à parcourir seul avant de pouvoir embarquer leur équipe. Une dernière ligne droite sans l’adrénaline de la course.

The Transat CIC (Lorient - New York)

Une arrivée à 110 milles de la côte, sans bateau comité, ni bateaux accompagnateurs, sans équipiers qui montent à bord pour fêter ça et soulager le solitaire dont les nerfs lâchent une fois la ligne coupée. C’est ce qu’ont vécu quasiment tous les solitaires de The Transat avant d’entamer la remontée du chenal dans la baie de New York, passer le pont Verrazzano et arrivée sous la Statue de la Liberté avant d’atteindre la Marina One 15 à Brooklyn, juste en face de Manhattan. Tous sauf Boris Herrmann, qui a eu la belle surprise de croiser des gens rencontrés sur The Ocean Race, qui repartaient de New York et ont calé leur départ sur le timing du skipper de Malizia. Le catamaran est sorti de la brume : « C’était chouette de voir des gens, de discuter avec des vrais gens au milieu de nulle part », raconte-t-il en arrivant au ponton de la Marina One 15.

Les équipes ont redouté le moment

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